*hilarante : Ne vous enflammez pas c’est de l’ironie !
Hé toi, aventurier de l’âme, prêt à embarquer dans le grand voyage psychédélique selon Carl Gustav Jung ? Pour les néophytes, on va parler du processus d’individuation ou de la crise de la quarantaine. La crise de la quarantaine ou le processus d’individuation c’est le road trip intérieur où même les archétypes fondamentaux de ta psyché font du stop !
Alors, selon Jung, faut harmoniser Persona, Ego, Ombre, Anima et Animus. Comme un orchestre un peu étrange, ils doivent coexister au sein du Soi. En clair, ils doivent créer une sorte de boy band intérieur, autonome et indivisible. Ça, c’est du multitasking psychique !
Imagine-toi dans la deuxième moitié de la vie, après avoir bien planté ta tente dans le monde extérieur. La vie te balance une nouvelle exigence : être toi-même, vraiment, oui oui Toi pour de vrai !!! Là, l’archétype du choix débarque, mettant un coup de pied au derrière du processus d’individuation. Tu commences à te poser toutes les questions existentielles, à plonger dans les méandres de ton Ombre. C’est un peu comme une fête surprise dans ton cerveau, et tous les archétypes sont invités.
La vie, c’est une série d’étapes, genre sitcom, et l’adolescence, c’est l’épisode pilote, le truc un peu gênant avec des boutons d’acné et des prises de tête. Mais la pépite, c’est la crise de milieu de vie, entre 40 et 55 ans. À ce stade, après avoir construit ta Persona consciencieusement en faisant tout bien comme il faut, tu sens un appel intérieur à explorer les recoins de ton être. C’est comme si ta psyché organisait une rave party dans ton cerveau.
Au début, tu construis ta Persona, ton moi conscient. Mais attention, c’est périlleux de t’y accrocher comme une moule à son rocher. L’Ombre, selon Jung, c’est la partie inférieure de la personnalité, là où sont planqués les trucs que tu préfères ne pas montrer à ta grand-mère. La transition vers la deuxième moitié de la vie, c’est un peu comme une rencontre du troisième type avec cette Ombre, la partie de toi que tu as ignorée comme un vieux pot de cornichons dans le fond du frigo.
La nécessité d’accomplissement débarque vers la mi-vie, comme une évaluation profonde de ta vie et de son parcours. C’est là que l’Ombre vient semer le bazar, perturbant la Persona et semant l’angoisse chez toi, habitué à t’identifier uniquement à ta façade extérieure. Ça secoue un peu, comme un flashmob de licornes au supermarché.
Mais pourquoi cette insatisfaction émerge-t-elle surtout vers la quarantaine ? C’est la crise de milieu de vie, baby ! Même si c’est un phénomène commun, certains prennent le train de l’individuation plus tôt, dès 35 ans, parce qu’ils sont des précurseurs du délire intérieur. La clé, selon Jung, c’est de poser les bonnes questions, de remettre en question sa vie et de donner un sens à son existence (et peut-être de faire quelques blagues en passant).
Le processus d’individuation, selon Jung, c’est une comédie en cinq actes. La survie, c’est survivre de l’enfance à l’âge adulte sans trop de bleus. La différenciation, c’est comme affirmer ton identité personnelle, avec quelques blagues pour détendre l’atmosphère. La construction, c’est la phase des doutes et des questionnements, parce que soyons honnêtes, la vie est un grand stand-up.
L’harmonie, c’est la partie où tu fais la paix avec tes côtés un peu bizarres, comme admettre que tu aimes collectionner les chaussettes dépareillées. Enfin, la transcendance, c’est le sommet de l’individuation, où tu acceptes tes imperfections et te connectes à la dimension spirituelle de l’existence (tout en gardant un œil sur le prochain numéro comique).
Le processus d’individuation de Jung ou comme on dit couramment la crise de la quarantaine, c’est comme une comédie stand-up sur le chemin de l’âme vers la complétude. Alors que la crise de milieu de vie peut être le coup d’envoi du show, ce processus peut débuter à tout âge pour ceux qui ont le sens de l’humour nécessaire pour explorer les tréfonds de leur être (et peut-être l’audace de se lancer dans un numéro de clownerie intérieure en cours de route). Selon Jung, la liberté surgit de ce voyage, alors enfile ton nez rouge et lance-toi dans l’aventure hilarante vers la transcendance de soi !